Grand tirage au profit de la Fondation québécoise pour les jeunes contrevenants

Courtoisie de la Fondation québécoise pour les jeunes contrevenants (FQJC

La Fondation québécoise pour les jeunes contrevenants (FQJC), aussi appelée la Fondation de la deuxième chance, organise un grand tirage-bénéfice afin de recueillir les fonds indispensables à la poursuite de son œuvre.

Au total, 17 prix d’une valeur totale d’un peu plus de 15 000 $ seront tirés le jeudi 5 décembre prochain. Y participer est une façon simple et excitante de soutenir la mission de cet organisme à but non lucratif, qui aide des garçons et des filles confiés à un centre jeunesse à retourner en société après avoir posé un geste criminel.

La vente de billets a déjà commencé ! Pour en acheter un, au prix fixe de 30 $, il suffit de se rendre sur le site de la Fondation. À gagner : un gros lot en argent de 5 500 $, un crédit-voyage de 5 000 $, des boites cadeaux, des forfaits en auberge et bien plus encore.

Pourquoi soutenir la FQJC?

Depuis près de 50 ans, la FQJC aide, à travers le Québec, des milliers de jeunes ayant eu des démêlés avec la justice. Elle contribue au développement de leur autonomie, notamment en soutenant leur retour aux études ou sur le marché du travail. Les interventions réalisées et l’aide offerte par la Fondation à ces jeunes en difficulté permettent de réduire efficacement le taux de récidive. Ajoutons à cela que soutenir la réintégration sociale d’un jeune qui dévie, c’est payant. En effet, chaque dollar bien investi permet à la société d’économiser jusqu’à 15$.

Faire connaître une cause « pas facile »

Monsieur René-André Brisebois, vice-président de la Fondation et porte-parole de cette activité-bénéfice, se fera un plaisir de discuter du tirage et de la mission de la Fondation avec les représentants des médias. Spécialiste des questions de la violence chez les jeunes et entre groupes criminels, ainsi que les meilleures stratégies de prévention et d’intervention pour y faire face, M. Brisebois est détenteur d’une maîtrise de l’École de criminologie de l’Université de Montréal. Il travaille actuellement comme coordonnateur professionnel à l’Institut universitaire Jeunes en difficulté du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, en plus d’être chargé de cours à l’Université de Montréal. Il est régulièrement invité comme conférencier par des partenaires provenant de différents secteurs (policiers, communautaires, municipalité, scolaire).