Investir massivement pour pallier au manque d’infrastructures sportives, culturelles et de loisirs sur le territoire lavallois, c’est la promesse que fait le candidat à la mairie de Laval et chef de l’Opposition officielle, Michel Trottier, en vue de l’élection municipale du 7 novembre 2021.
Au total, ce sont plus de 225M$ en quatre ans qui seront dépensés et serviront à construire deux nouvelles piscines intérieures publiques, une dans l’ouest et l’autre dans l’est de Laval, deux arénas, un complexe intérieur de soccer, un complexe de basketball extérieur et un centre de création artistique. Des objectifs ambitieux qui permettraient d’amorcer le rattrapage nécessaire : « Pour moi, c’est totalement aberrant que les familles doivent se rendre à St-Eustache ou Blainville pour prendre des cours de natation, que nos jeunes hockeyeurs doivent se lever à 4h du matin pour avoir une petite heure de glace! Un moment donné, Laval doit se doter de ses propres infrastructures ! » s’indigne le chef de Parti Laval – Équipe Michel Trottier.
Des décennies de laxisme
Déplorant le manque de leadership de l’administration Demers-Boyer, Michel Trottier souligne l’urgence du rattrapage : « On n’a pas seulement besoin de beaucoup d’infrastructures, on en a besoin pour hier. Les jeunes qui voteront pour la première fois en novembre prochain n’auront pas eu la chance de voir une piscine, un aréna s’ajouter dans leur ville depuis qu’ils sont nés! », de s’exclamer Michel Trottier.
D’ailleurs, le déficit d’infrastructures va bien au-delà du milieu sportif : « Qu’on doive systématiquement prendre son auto pour se divertir, qu’on soit obligé de traverser le pont pour aller voir une pièce de théâtre, ça ne fait pas de sens ! Laval est la troisième ville en importance au Québec et nous avons des infrastructures similaires à une municipalité de 8 000 habitants! Pour que cela change, nous avons besoin d’investissements majeurs et d’un plan clair, c’est ce que nous proposons aux Lavalloises et Lavallois », d’affirmer avec conviction le candidat à la mairie.
« Notre équipe n’entend pas seulement faire un rattrapage massif en infrastructures, elle entend le faire rapidement. Quand il y a urgence, on agit en conséquence! », de conclure Michel Trottier.